Site Overlay

Calendrier de l’Avent de la librairie, Jour 13 : Quatrains et autres poèmes brefs, d’Emily Dickinson

La poésie fait partie de mes lectures au long cours. J’ai toujours au moins un volume de poèmes sur la table de nuit. Et certains sont des habitués, il reviennent tous les ans, ou à certaines occasions de ma vie…

quatrains-et-autres-poemes-brefs-uneLes poèmes d’Emily Dickinson sont de ceux-là.

Je les ai découverts dans une anthologie présentant les poètes américains. Trois poètes, particulièrement, étaient mis en avant, comme les vrais premiers poètes authentiquement du Nouveau Monde (car, disait le préfacier dont j’ai oublié le nom, les autres étaient plutôt des Anglais sur le sol américain…).

Le premier était Edgar Allan Poe (que je préfère en conteur, même si certains poèmes sont de grandes oeuvres). Le deuxième, et l’un de mes poètes de référence : Walt Whitman.

Et le troisième nom cité était Emily Dickinson.

Depuis ce jour-là, les poèmes de cette recluse me fascinent et s’amusent parfois à refaire surface lors d’événements divers de ma vie (ce qui est plutôt agréable, quand on y réfléchit bien…)

Et ce volume-ci propose certains des textes les plus courts de la poétesse, dans une magnifique traduction de Claire Malroux (qui, et ce n’est pas un hasard, est également la traductrice de l’un des recueils que j’ai le plus lu ces derdières années : Chair et sang, de C.K. Williams)

Mais je m’égare… Autant vous laisser avec Emily Dickinson :

Ne sachant quand viendra l’Aube,

J’ouvre toutes les Portes,

Ou : a-t-elle des Plumes, comme l’Oiseau,

Des Vagues, comme un Rivage –